Petite rengaine d’été : » aucun impôt n’augmentera ».

Ceci sert à étouffer le débat l’indispensable révolution fiscale qu’il faut mener pour réduire les inégalités.

En vérité, l’impôt sur le travail et les retraites augmentent et ceux du capital diminuent.

D’abord les recettes de l’impôt sur le revenu sont dominées par la CSG, ensuite la contribution au remboursement de la dette sociale que tous les citoyens payent (0,5% du revenu) vient discrètement d’être prolongée de 10ans alors qu’elle devait s’éteindre dans 2 ans.

Petite rengaine d’été : » aucun impôt n’augmentera ».

Ceci sert à étouffer le débat l’indispensable révolution fiscale qu’il faut mener pour réduire les inégalités.

En vérité, l’impôt sur le travail et les retraites augmentent et ceux du capital diminuent.

D’abord les recettes de l’impôt sur le revenu sont dominées par la CSG, ensuite la contribution au remboursement de la dette sociale que tous les citoyens payent (0,5% du revenu) vient discrètement d’être prolongée de 10 ans alors qu’elle devait s’éteindre dans 2 ans.Du CICE en suppression de la taxe d’habitation, en passant par les cadeaux au capital, à la suppression de l’ISF c’est toute la puissance publique qui est déshabillée au prix d’un sacrifice de tous les services publics.

Cela fait 40ans que la baisse de la fiscalité du capital n’a comme conséquence que le chômage de masse et le creusement des inégalités.

C’est au cout écrasant du capital qu’il faut s’attaquer et l’impôt sur les sociétés devrait être conditionné à l’emploi, à la formation à l’investissement social et écologique.