De partout en France, montent des luttes unissant usagers et salarié-e-s pour la défense et le développement des hôpitaux, pour des EHPAD qui ne soient plus des lieux de maltraitance et de souffrance.

Ces luttes associées à d’autres luttes pour les services publics, pour le logement, les transports, pour une renaissance industrielle, pour les droits sociaux et l’emploi, seront au cœur des États généraux du progrès social du 3 février organisés par le Parti communiste français.

Ces États généraux seront un lieu d’expression et de convergences de toutes ces luttes, à l’image de celles des salariés de Pimkie qui ont mis en échec le projet de rupture conventionnelle collective porté par leur direction, infligeant ainsi au gouvernement Macron un premier revers. Ils seront de fait mis à disposition pour la contribution et la prise de parole de toutes et tous. Ils seront enfin à gauche, le premier moment de construction d’une alternative à la politique du Président des riches. Il s’agit de faire prendre conscience qu’une France du progrès social et des « jours heureux » est possible, que l’argent existe pour cela et qu’il faut s’organiser pour l’arracher au capital.

Ces États généraux du Progrès social constituent le premier acte public du Congrès de notre Parti. Comme toutes les initiatives qui se dérouleront dans le cadre du Congrès, ils seront profondément ancrés dans la vie politique et sociale de notre pays, dans ce qui bouge en France et dans le monde, ils feront appel à ton intervention, ton engagement, ton intelligence, et ta créativité de communiste.