C’est dans les gènes du PCF d’être solidaires des peuples opprimés, dominés, occupés et de lutter pour leur émancipation.
Depuis toujours le PCF a défendu les droits des palestiniens s’est élevé contre la colonisation et a dénoncé le terrorisme d’état d’Israël qui a couté la vie à plus de 130 palestiniens dans les dernières semaines.
C’est ainsi que nous avons accueilli plus de 40 participants le 15 juin qui ont pu visiter l’expo-photo prêtée par Michelle Demarchelier.
Les participants sont intervenus sur l’abandon de la communauté internationale, l’absence de l’Europe, et le rôle ambigu de Macron qui maintient des liens plus qu’étroits avec Netanyahou.
Christian Rubechi de l’association de solidarité France-Palestine est intervenu sur la question des 6 119 prisonniers politiques hommes, femmes et enfants dont Salah Hamouri et Marwan Bargouthi, détenus en violation systématique des lois internationales et du non-respect des droits des détenus à tel point que l’on peut estimer que ce taux d’incarcération est le plus haut au monde rapporté à la population. Le soutien par parrainage à ces prisonniers peut s’exprimer : .
Richard Wagman de l’union juive française pour la paix étant excusé, c’est Serge Grossvak qui a présenté les réactions des communautés juives d’Israël et de France.
En France la communauté juive est fortement influencée par l’idéologie sécuritaire qui vise à assimiler l’opposition à la politique du gouvernement israélien à de l’antisémitisme. La violence répressive israélienne travaille en profondeur cette communauté qui cautionne de moins en moins l’amalgame entre palestinien et terrorisme comme l’opinion française et internationale comme en témoignent les actions de Boycott (BDS).
Catherine Gay présidente de Bouffémont -Palestine a détaillé les actions de solidarité menées par cette association. Grâce à l’engagement de Bouffémont-Palestine des fonds et des subventions ont été collectées en projet de créer un laboratoire et un centre de transfusion et de dialyse dans la ville palestinienne de Kufer-Nima. Aujourd’hui plus de 20 000 habitants peuvent bénéficier de soins sans rester bloqués aux checkpoints israéliens. C’est une grande réussite.