Défendre nos structures de santé

Défendre nos structures de santé

Placée sous le signe d’un débat sur la santé , la soirée des vœux de notre section à rassemblé plusieurs dizaines de participants dont un bon nombre de praticiens infirmières aides-soignantes…

La santé si fondamentale mais plus que jamais menacée par la politique d’austérité de Macron, étranglée par les « économies » que les technocrates gouvernementaux imposent et sommée d’être rentable comme toute entreprise marchande.

C’est en partant du documentaire : » l’hôpital à fleur de peau » de Cyril DENVERS et Pierre DUYCKAERTS, tourné à l’hôpital de Gonesse, que les témoignages se sont exprimés.

Une souffrance des soignants débordés qui n’arrivent plus à prendre le temps de s’occuper correctement les malades, des médecins étouffés par une administration tatillonne appliquant sans états d’âme les coupes budgétaires inhumaines, des fermetures et fusions de services, des urgences saturées, l’obsession de devoir » faire du chiffre », un personnel précarisé et contraint à une polyvalence dangereuse.

Tout notre territoire est concerné : fermetures des Hôpitaux et des ephads. Après Villiers le Bel, Sarcelles, Marly la ville, c’est Beaumont sur Oise et Saint Martin du Tertre qui sont menacés.
Une volonté d’arrêter ce désastre sanitaire et d’agir s’est fait entendre tout au long de la soirée
A partir de fin Janvier, une pétition en ligne va se mettre en place appuyée par les associations de défense de la santé. Des réunions auront lieu dans plusieurs communes des environs et en particulier les militants communistes seront présents sur le terrain et informer les habitants de nos quartiers.
Voila le résultats des politiques Bachelot , Touraine, Buzyn . même combat !!

BONNE ANNEE LES LUTTES !

BONNE ANNEE LES LUTTES !

Soutien aux « gilets jaunes »

Après les manifestations contre la privatisation des transports, les actions contre la casse des hôpitaux comment ignorer l’évènement social majeur de 2018 : une réaction populaire qui vient de loin ? Ce mouvement est avant tout motivé par le mal-vivre et porte des revendications que nous partageons et pour lesquelles nous luttons : augmentation du SMIC et des salaires, indexation des retraites sur le cout de la vie, égalité femmes/ hommes, exigences démocratiques nouvelles, accompagnement social de la transition écologique.

Cette colère vient de loin : Après des années d’austérité, de sacrifices, de précarisation, de casse des services publics imposés par les gouvernements successifs de Sarkozy à Hollande et d’Hollande à Macron, après la faillite du PS converti en champion du social- libéralisme nous aboutissons à une confusion politique qui crée une abstention record et une méfiance simplificatrice envers le « politique ».

Devant ce mouvement qui tient bon, Macron ajuste une double stratégie : d’un côté gel de quelques annonces, quelques promesses pour le futur, et le projet marketing d’une « grande consultation nationale », de l’autre une répression policière violente accompagnée d’une impressionnante campagne médiatique contre « la violence et les casseurs » de ce peuple qui revendique au lieu de se tenir bien sage et de souffrir en silence.
Bien sûr, rien sur l’origine de cette colère, rien sur la violence sociale policée et moins bruyante, rien sur la désespérance populaire, rien sur le mépris de classe assumé par le président des riches.
Jusqu’où ira ce mouvement ? Soutenu par une grande majorité de la population, les revendications ont gagné en maturité, et l’organisation a progressé. S’il se défini comme « voulant échapper à la mainmise des partis politiques » , rien n’interdit les convergences avec d’autres forces.
Nous communistes, soutenons ce mouvement porteur d’un réel combat de classes. La suite sera dans sa capacité à déjouer les oppositions artificielles que le pouvoir dresse entre les différentes catégories de travailleurs, à rencontrer, dépasser les apriori et se réapproprier la réflexion politique, dialoguer et agir avec toutes les forces engagées dans les luttes, aboutir à un mouvement social d’ensemble et établir un rapport de force instaurant une démocratie nouvelle

Festival des solidarités

Festival des solidarités

Du 13 Novembre au 3 Décembre, à l’espace Eiffel Exposition « La Terre est ma couleur »

 
Dimanche 18 Novembre, au cinéma de Domont

A 18h15 : Film « Libre » suivi d’un débat

 
Dimanche 25 Novembre, au centre culturel de Bouffémont rue JB Clément

De 16h à 19h30 : Fête de Bouffémont Palestine

 
Samedi 1er Décembre, au centre de Loisirs de Bouffémont rue Champollion

A partir de 19h : Soirée familiale autour d’un repas partagé

 

A l’initiative des associations membres d’Assos’ Action Bouffémont

Desintox : Un pognon de dingue

Selon Macron, les aides sociales coutent un « pognon de dingue », laissant entendre que ces aides sont inefficaces et qu’elles sont des dépenses de trop.

Prétexte à baisser les APL, augmenter les impôts sur les retraites, réviser l’assurance chômage….

Mais le constat est sans appel : le nombre de pauvres en France augmente. Depuis 2005 un million de personnes supplémentaire vivent sous le seuil de pauvreté, soit 8,8 millions selon le dernier rapport de l’INSEE.

Sans ces prestations sociales le taux de pauvreté serait  de22% alors qu’il est réduit à 14% grâce à elles

Macron à son habitude brouille les chiffres : si l’on soustrait les dépenses des retraites et celles de l’assurance-maladie, la part du PIB consacré à la lutte contre la pauvreté ne représente que 2% du PIB : RSA, adultes handicapés, aides au logement.

Si les dépenses du RSA augmentent c’est que l’on garde un taux de chômage de longue durée très élevé et que les personnes restées longtemps hors du marché du travail deviennent allocataires du RSA.

De plus 40% des ménages éligibles au RSA n’en font pas la demande à cause d’un parcours administratif compliqué et d’un manque de moyens d’accompagnement dans ces démarches

Voila le cruel bilan de la politique Macron, et de son mépris de classe .

L’université permanente

L’université permanente initiée par le PCF débute son activité en littérature, histoire et philosophie elle est consultable sur la chaîne youtube@univpermanente.

Vous pouvez accéder directement à cette chaîne en cliquant sur l’image « Université permanente » présente sur le bandeau à droite des pages de ce site.

Appel aux forces progressistes

Nous, citoyennes et citoyens d’Ezanville, attachés-ées aux valeurs de gauche, de démocratie locale, de justice sociale, de solidarité active, et d’avancées écologiques concrètes avons décidé de nous constituer en collectif afin de réfléchir et agir dans l’intérêt et pour l’avenir de notre commune.

Notre démarche est avant tout de vous écouter, de prendre en compte vos idées et propositions, et de construire avec vous de nouvelles alternatives dans l’intérêt du bien commun.

 

Nous vous invitons à nous contacter sur :

A Ezanville, le 11 Octobre 2018

Brigitte Royer-Dégène, Paule Schaaff, Thierry Seillier, Alain Lambret

Congrès 2018

« Nous entrons dans une nouvelle phase de la préparation de notre congrès. Nous le voulons toutes et tous « extraordinaire » parce que la période nécessite de remettre le communisme à l’offensive. Nous tiendrons ce congrès à Ivry-sur- Seine, les 23, 24 et 25 novembre prochains.
Le choix d’une ville à direction communiste, une ville « monde », qui innove pour et avec ses habitants au niveau culturel, écologique, social, économique, associatif, sportif, éducatif ».

Vous trouverez en annexe la brochure CONGRES 2018 que vous pouvez télécharger, ainsi que votre bulletin de vote en cliquant sur l’image du congrès.

Rencontre du 07 septembre au sujet du parking « Charles de Gaulle »

Rencontre du 07 septembre au sujet du parking « Charles de Gaulle »

Après avoir remercié les 90 citoyens présents à cette initiative, notre collectif a présenté le projet que veut réaliser la municipalité

Une première intervention de Bernard Vignes, élu communiste au conseil municipal, a rappelé comment les élus d’opposition ont eu connaissance de ce projet de construction d’un parking de plus de 80 places dans ce parc Charles de Gaulle.

Il a résumé les actions entreprises par l’association « les Gauches pour Ecouen et ses Environs », celles lancées par les riverains (Carole Bezout, Jean-Michel Veyrières et Olivier Giraud,…) ainsi que celles engagées par Jean-Claude Marcus et Jean-François Pin.
Enfin, il présente Bernard Loup, président de Val d’Oise Environnement.

Les riverains ont exprimé leur mécontentement, leur refus de déplacer les jeux pour enfants et de réduire cet espace vert qui est utilisé par de nombreuses familles écouennaises.

Ils indiquent avoir lancé une pétition qui recueille 650 signatures exprimant un NON à ce parking. Ils montrent les photos exposées représentant les parkings existant dans le centre-ville et soulignent le nombre important de places non occupées.

Les riverains précisent que ce n’est pas deux arbres qui seraient coupés mais une petite dizaine. Ils ajoutent que replanter un arbre ne pourra jamais le remplacer à l’identique.
Ils précisent que la nature est un élément indispensable pour l’être humain et qu’un parking même paysager constitue un îlot de chaleur et nuit à la santé des habitants.

Jean-Claude Marcus, de l’association de Défense de la Forêt d’Ecouen et d’Education à la Nature revient sur la question des espaces verts, de l’importance que nous devons donner à l’environnement. Il ajoute que nous faisons partie de la nature au même titre qu’un arbre qu’il convient donc de respecter.

Un journaliste du Parisien prend des notes et quelques photos.

Les citoyens présents sont intervenus.

  • Pour apprécier ce rassemblement unitaire. Une participante regrette le manque d’information concernant le salon de thé au niveau du château.
  • Un autre insiste sur le nombre important de pétitionnaires.
  • Olivier Giraud, bien qu’étant élu municipal de la majorité, rejette ce projet qui apporterait des nuisances surtout qu’il est riverain et directement concerné.
  • Une personne indique que le lavoir situé en haut de la rue de la Grande Fontaine tombe en ruine. Elle propose que la ville le restaure.
  • Alain Lambret, de la section PCF, propose que l’hôtel restaurant mette en place un système de voituriers, ce qui constituerait des créations d’emplois. Etant domicilié à Ezanville, il affirme que ce genre de projet pourrait malheureusement se réaliser dans sa ville ou dans les environs. C’est pourquoi il soutient cette initiative.
  • Marie-Marthe Jesslen, présidente de l’association « Les gauches citoyennes pour Ecouen et ses Environs » démontre que ce n’est pas la création de parkings supplémentaires qui redynamisera le centre-ville. Cela fait 40 ans que cet argument est avancé par le maire. Il faut, dit-elle, une aide en direction des petits commerçants qui voudraient s’installer en proposant par exemple, des loyers à un tarif préférentiel.
    Elle explique que le PLU (Plan Local Urbanisme) n’est toujours pas voté et invite à consulter en mairie le PADD (Plan d’aménagement de développement durable).
  • D’autres riverains évoquent les saletés, les canettes sur le sol de ce parc. La ville ne l’entretient pas. C’est surtout pour les enfants un problème d’hygiène.
  • Bernard Loup considère qu’il faut se battre partout où l’environnement est mis à mal. Il indique que le projet d’EuropaCity dans le Triangle de Gonesse est l’exemple même d’une atteinte à la nature.
  • Jean-François Pin, conseiller municipal d’opposition se félicite de cette mobilisation des citoyens. Il explique que l’ouverture de l’hôtel restaurant en haut du parc est conditionnée par la construction du parking.

Nous convenons tous qu’il serait bien d’être présent lors du prochain conseil municipal de mardi 25 septembre à 20h30 et de poursuivre notre démarche d’opposition et de propositions.